1. Regardez la date de création du site. Les sites d’arnaques sont très souvent jeunes (quelques semaines/mois, jamais vraiment plus d’un an).
2.Il y a également pas ou peu d’infos via le Whois (https://whois.domaintools.com/) qui est une sorte d’annuaire qui permet d’avoir les informations sur le propriétaire d’un site. Cela peut être le cas pour les grosses entreprises, mais ça reste rare.
3.Enfin, les serveurs qui hébergent les sites douteux sont rarement en France ou en Europe comme le sont les sites authentiques tels que LDLC ou Amazon FR par exemple.
3. Vérifiez les mentions légales. Ce sont des informations obligatoires (si elles n’y sont pas, fuyez !) telles que le SIRET, le Registre des Commerce et des Sociétés (RCS), les numéros, les contacts, etc. En regardant les informations fournies sur un site comme Societe.com (https://www.societe.com/) soit ce n’est pas des numéros valides auquel cas c’est très probablement une arnaque, soit c’est valide mais le nom ne colle pas, la date est très ancienne ou le lieu du siège social ne correspond pas à ce qui indiquait : il peut s’agir d’une utilisation frauduleuse d’informations authentiques d’une autre enseigne.
4. Vérifiez si le site n’a pas été signalé. Par exemple via son lien, son nom ou le SIRET, si vous voyez qu’il a été signalé sur Signal Arnaque (https://www.signal-arnaques.com/) et/ou ScamDoc (https://www.scamdoc.com/fr/) c’est qu’il s’agit d’une arnaque.
5. Si vous le pouvez, payez via des services tel que PayPal qui intègrent une politique de sécurité pour les utilisateurs qui vous permettra d’être plus facilement et rapidement remboursé qu’un achat via une carte bancaire.
6. Fuyez les offres trop belles pour être vraies : prix défiant toutes concurrences, promotions exceptionnelles ou encore stock sur des produits rares ou limités.